Monsieur Daniel BARVAUX

Resident at Marche-en-Famenne (6900)
Born in Marenne (6990) on 16 July 1954
Died in Aye (6900) on 14 October 2010 at the age of 56 years

Espace « condoléances » 

This condolence space was created on 15 October 2010.

Personal testimonies

4 personal testimonies  
Personal testimony 

Un grand éclat de rire, un bon morceau de 'rock', un très gros cœur tout feux,tout flammes et cette énorme tignasse...voilà mes souvenirs d'une "folle" époque. Salut l'artiste de beaucoup de choses... de la vie surtout.
Ta vieille hollandaise Lieke B.

lieke brandts- 31/10/2010

Personal testimony 

Nounours,
Chacun a sa propre opinion quant à la vie dans l'au delà, mais nul doute, que s'il existe un paradis, tu y es déjà, en train de regarder les papillons sans les déranger, d'observer les variétes d'oiseaux dans leurs parades amoureuses, d'écouter la musique qui t'est si chère, de courir par bois et par vaux... parce qu'enfin tu as le temps, tout le temps que tu veux pour faire les choses que tu aimes... sans le stress du pelotons de fous que tu avais déjà cessé d'accrocher.
Adieu mon ami.
Mais sache que tu n'as pas fini de m'accompagner à tout bout de champs et j'espère que j'aurai la chance un jour de narrer ton histoire à mes petits enfants.

Alain Bellaire- 19/10/2010

Personal testimony 

je t ais connu ;on sait connu ;on sais aimé,on se reverrat, repose en paix a plus

jean-yves soyer- 16/10/2010

Personal testimony 

Nounours,

toi, comme moi et beaucoup d’autres avons été profondément marqués par l’euphorie des Golden sixties. Un nouveau monde naissait, un monde où la splendeur du vrai serait le Beau, un monde d’Amour et d’Espérance. Malheureusement, peu à peu, nous avons déchanté et nous sommes devenus des nostalgiques presque incapables de nous adapter au cirque actuel.
        
Lors de nos derniers chantiers, tu me partageais ton mal-être existentiel et physique ; je voyais bien que tu étais à bout, mais tu ne voulais pas entendre parler du médecin. Heureusement, ton souhait a été exaucé en restant quelques jours seulement à la clinique, en prenant le grand chemin dont on ne revient pas.
        
Toi qui aimais les vendanges, avec l’arrivée de l’automne, le fruit de ta vigne est cueilli pour être pressé et placé dans les vases éternels. En hiver lorsque nous tirerons le vin, il y aura dans nos cœurs un chant pour chaque coupe.

Un parmi les autres.

Bernard Behin- 15/10/2010

 
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